Je me souviens, je devais avoir 8 ans, au début des années 50 (53 je crois), quand mon père est revenu un soir à la maison avec un magnifique combiné poste radio tourne-disque Telefunken et, pour l'étrenner, le premier disque d'un quasi-inconnu, Georges Brassens, en microsillon 25 cm..
Nous écoutions, ma soeur et moi, "Hécatombe" en gloussant quand nos parents n'étaient pas là et j'ai, un peu plus tard, appris à mettre à mon pinacle tous les autres titres.
Il va sans dire que je connais encore toutes ces chansons par coeur.
- "Le gorille":
- "Hécatombe":
- "Le parapluie":
- "Le petit cheval":
- "Le fossoyeur":
- "La mauvaise réputation":
- "Corne d'auroch":
- "La chasse aux papillons":
Bon dimanche.
Et ce soir, comme d'habitude, soirée électorale plurielle à la maison.
- "Visite mouvementée à Gerland pour Duflot et Hamon", LibéLyon.
- "100 milliards d'euros pour les banques espagnoles ?", Libération.
- "Du miracle espagnol à la crise, un chemin pavé de déséquilibres", Le Monde. ****
- "Une Assemblée de cumulards", Le Monde.
Ah Georges... si je peux, un jour j'irai le visiter à Sète, et lui demander s'il aime bien cette sinécure de "passer sa mort en vacances".
RépondreSupprimerUn monument du XXe siècle.