Boston

On ne dira jamais assez que ce type de terrorisme, qui s'en prend à des civils innocents, est l'oeuvre de sous-hommes: 1/3 animaux, 1/3 crétins et 1/3 salopards, du moins très approximativement car je crois que la part de crétinisme imbécile est peut être la plus importante.

3 morts, dont un enfant, près de 200 blessés dont certains ont des membres arrachés et/ou sont très gravement touchés, et parmi lesquels d'autres décès sont à prévoir.
Des gens dont le seul tort a été de vouloir participer à une fête sportive, pratiquants et/ou spectateurs.
Il y a des moments où il faut être héroïque pour se maintenir adversaire de la peine de mort.

A ce stade, on se perd en conjectures sur les auteurs et les motivations de cette saloperie.
On pense à priori à Al Qaïda ou ses ersatz, mais la date (le Patriot's Day), est la même que l'attaque de Waco par le FBI et l'attentat d'Oklahoma City, ce qui mènerait plutôt à penser à une des innombrables sectes politico-religieuses d'extrême droite, exaspérées par un Président noir, qui infectent les USA.
Il est donc urgent d'attendre les avancées de l'enquête avant de dénoncer plus avant.

Que dire de plus ?

Ah si..! On va voir très vite refleurir diverses théories du complot, attribuant ces attentats, en vrac, au Mossad, au KGB, à la Corée du Nord, pour les étrangers, au FBI, à la CIA, la NSA, voire B. Obama en personne pour les USA, dans les jours qui viennent, si ce n'est déjà commencé. Ne nous laissons pas distraire.
Là encore, que dire de plus ?

• "La France en récession de 0,1% en 2013, selon le FMI", NouvelObs.
• "Patrimoine des Français : des inégalités en hausse", Libération.
• "La France est le pays de l'UE le plus touché par la viande de cheval", Le Monde.
• "Alimentation : face aux doutes, les internautes s'organisent", Le Monde.
• "Comment ouvrir un compte numéroté au Liechtenstein en 13 minutes", Big Browser.
• "Les universités s'interrogent sur le coût de la scolarité des étudiants étrangers", Le Monde.
• "Effet de souffle sur l'Elysée", Marianne.
• "Prêts toxiques : les villes se délestent sur l'Etat d'une mini-bombe budgétaire", Les Echos.