jeudi 11 août 2011

Révoltes

Je suis fondamentalement, et depuis longtemps, républicain et démocrate (à la française, pas à la mode US). Pourtant, en ce moment, j'envie les Indignés espagnols comme israléiens, le peuple grec, les peuples tunisiens, égyptiens, libyens, syriens (même si cela leur coûte très cher et que rien n'est définitivement gagné). J'en arriverais presque à soutenir les hooligans britanniques.

Quand je repense au Spectacle politique de ces dix dernières années chez nous, je rage, autant contre les démagogies qui ont maintenu une droite populiste au pouvoir pour faire le boulot du Medef et de la finance, que contre ceux qui, à gauche, nous expliquaient doctement, en 2005, que voter Oui au référendum européen nous garantissait un avenir  de rêve alors que c'était ouvrir grandes les portes à tous les excès qui nous ont mené à la crise de 2008 et à celle, la prochaine, qui se profile...

Je rejoins totalement Edwy Plenel dans son article d'hier: "Face à la catastrophe annoncée et confirmée par la folle journée de ce mercredi , nous avons rendez-vous avec l'histoire. Car la crise actuelle ne résulte pas d'une inévitable fatalité économique ou d'une éphémère folie financière. Elle est la conséquence de politiques socialement criminelles, mensongères et amorales, qui, si elles ne sont pas défaites par les peuples, entraîneront nos sociétés dans une spirale de violences. Aussi est-il temps d'imposer des solutions s'attaquant à la racine du mal : réalistes parce que radicales"

Et une amie m'a opportunément rappelée, hier, ces paroles de Thomas Jefferson en 1802: "Je pense que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées entières prêtes au combat. Si le peuple américain permet un jour que des banques privées contrôlent leur monnaie, les banques et toutes les institutions qui fleuriront autour des banques priveront les gens de toute possession..."

Paroles de vieil aigri ? Possible...

En attendant, si j'allais voter aux primaires socialistes (ce que je ne ferais pas), face à l'eau tiède des principaux candidats et au sarkozysme rampant de M. Valls, je choisirais sans hésitation A. Montebourg qui, malgré quelques outrances de langage est le seul à avoir voté "Non" au référendum de 2005 et propose au moins quelques mesures radicales.
  • "Grande-Bretagne : "une cocote minute qui peut exploser à tout moment"", NouvelObs.
  • "Lourde rechute pour les Bourses, les banques dégringolent", Libération.
  • Une interview de Paul Jorion: "Crise de la dette: «Une nouvelle récession se dessine, pour les mêmes raisons que celle de 2008»", 20 minutes.
  • "Au dessus du berceau sud-soudanais, l’Inde joue les bonnes fées intéressées", Aujourd'hui, l'Inde.

25 commentaires:

  1. Soutenit du haut de sa coline, avec le ventre bien plein, devant son ordi, les intégristes et casseurs de tous poils qui font comme premières victimes les gens du peuple : totalement irresponsable!
    Jouer le révolutionnaire de pacotille est indigne précisemment!
    Certains utilisent les immigrés comme boucs émissaires, d'autres la banques! A chacin son défouloir de haine....
    Moi,si j'allais voter à la primaire socialiste, j'irais voter Manuel VALLS, un homme de gauche qui vit dans la réalité des choses et du monde, capable d'apréhender les problèmes et donc de les résoudre....
    Le reste n'est que révolution de salon, ce dont le peuple n'a rien à foutre....
    Adrien SCOLA

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  2. Merci pour la réponse à une question ultérieure
    A+
    FX

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  3. "J'en arriverais presque à soutenir les hooligans britanniques."

    Tous mes compliments : ça sent la reflexion de haut niveau ...! Bientôt, la R.A.F. allemande ?

    PS ( je propose aux amis de Jef d'organiser une collecte pour lui offrir un micro-ondes, un i-pad et un écran plat géant, sans qu'il aille casser les vitrines comme les malfrats anglais indignés...)

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  4. 1- Je n'habite pas sur une colline.
    2- Je ne suis plus, depuis quelques dizaines d'années, révolutionnaire.
    3- Contrairement à A Scola, je ne me satisfait pas de la situation actuelle.
    4- A JC: si les mots ont un sens, "presque" aussi.

    Tout ça continue parce qu'après 2008, où on pouvait admettre de l'ignorance, rien n'a été fait, si ce ne sont de belles paroles et de l'austérité pour les plus démunis.

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  5. Ah ! Jef, soyez rassuré !
    Si votre engagement "révolté Robin Hood indigné" vous amène en taule, nous prendrons soin de Madame et des accessoires animaliers.

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  6. E.Plenel écrit [""Aussi est-il temps d'imposer des solutions s'attaquant à la racine du mal : réalistes parce que radicales"].
    Evidement ! Mais j'attends la réponse pas de ce journaliste mais, d'une partie du peuple laborieux
    Mais sans avant garde ... on peut toujours attendre ou rêver à des jours meilleurs
    Quant aux positions de M. Valls, elles le conduiront tout droit dans un gouvernement d'union nationale ,il a pleinement sa place
    Cet homme se dit "socialiste" . Avec son discours , c'est un repousssoir pour la jeunesse qui cherche des solutions d'aujourd'hui
    Pour d'autres , c'est le sauveur suprême
    Quel opportuniste !
    Au PS, on trouve de TOUT comme dans un fameux magasin.

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  7. Merci JC, je n'en attendais pas moins d'un fidèle commentateur.

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  8. Il est clair quoi qu' en pense bruno, que la seule solution est un gouvernement d'union nationale, au regard de la situation!
    Loin des idéologies de droite et de gauche, loins des polémiques stériles, loin des ambitions des uns et des autres,avec seul l'intérêt national, on y viendra de gré où de force, et c'est probablement un gouvernement de gauche qui proposera cette solution!
    Jules

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  9. Tout ce qui est "union nationale" ou "comité de salut public" est désormais impossible.

    Lorsqu'on est responsable politique, il vaut mieux perdre les élections, attendre 5 ans et laisser les autres se casser la gueule et faire le sale boulot !

    (cf démocrate/ républicains US et les difficultés actuelles du "négro", haï par les joyeux "intellos" du tea-party !)

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  10. Un gouvernement d'union nationale avec des Sarkozy, des Copé, des Guéant qui sont tous mouillés dans de sales affaires et dont les propositions ont mis notre pays en quasi-banqueroute en épargnant leurs clientèles?
    Sans moi.

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  11. Il faut que ceux qui se sont mobilisés pour faire voter non au referendum sur l'Europe libérale qui nous était proposée, se rassemblent et propose d'urgence une nouvelle politique basée sur la croissance au détriment des spéculateurs.
    Non à une monnaie forte qui pénalise nos exportations, oui à une certaine dose d'inflation qui réduira mécaniquement à terme une bonne part de la dette et réorganisation du système bancaire pour qu'il soit au service de l'investissement et non de la spéculation.
    Ce front républicain et social pourra montrer à tous les peuples européens qu'une autre politique (européenne) est possible.

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  12. @jules
    « union nationale » ou « salut public » pour quoi faire exactement ?
    Formulez bien votre souhait
    Je vais vous livrer un scoop ENORME : ce gouvernement d’union nationale il EXISTE déjà de fait !
    Il y a belle lurette que le PS ne s’oppose plus sur le FOND aux mesures de l’UE et à N. Sarkozy souvenez vous la réforme constitutionnelle
    Sur la « règle d’or » tous d’accord sur le fond (n’écoutez pas les petites phrases)
    La « règle d’or » elle existe depuis 1985 , c’est les 3% du traité de Maastricht. Et tous les candidats PS sont d’accord mais on fait semblant …élection 2012 oblige ( relire déclaration Hollande , Aubry etc..)

    @anonyme
    en général je ne réponds pas à un commentaire anonyme . Là je fais une exception pour la question ou remarque : [« « ceux qui se sont mobilisés pour faire voter non au referendum sur l'Europe libérale qui nous était proposée, se rassemblent et propose d'urgence une nouvelle politique basée » »]
    Dans le vote « NON » sur le TCE il y avait, cela ne vous a pas échappé , des responsables « souverainistes » « extrême droite »
    Je n’ai RIEN de commun avec ces gens là ! Donc « out » !
    Pour le reste, force est de reconnaître que la coalition des « non » de 2005 n’a jamais pu se transformer en force politique. Il est vrai qu’une coalition des « non » ne peut pas être une force positive, puisque ses membres ne s’accordent que sur ce qu’ils refusent, c’est-à-dire sur rien !
    En effet, à l’intérieur de cette coalition (hors l’extrême droite bis repetita) on trouvait une large fraction de fédéralistes européens (de Fabius à Mélenchon et Besancenot) qui ne refusaient le TCE que parce qu’il n’était pas assez européen et pas assez « social », d’où la concentration du tir sur la troisième partie de ce traité alors même que les deux autres parties imposaient des principes politiques autrement contestables mais que les européistes adeptes du « NON » se sont refusés à analyser
    Bref ,sans allonger mon « comment » de large divergences entre les « nonistes » qui ne pouvaient déboucher sur RIEN.
    La victoire du « NON » a été remise en question qq mois plus tard avec le coup de main de la direction « pro OUI » du PS
    Sur ce que vous préconisez « non monnaie forte » « oui inflation » « réorganisation du système bancaire »
    Pour les 2 premières mesures il faut sortir de Maastricht cher anonyme !
    Pour la troisième, je suis désolé de vous le dire de la sorte, vous ne savez pas dans quel monde (Europe) vous vivez et votre analyse de la crise du capitalisme est très très sommaire.
    Ou bien vous êtes un nostalgique des solutions de Keynes (version PS réformiste années 70)fonc avant l'UE
    N’écoutez pas,ne lisez pas les « marxistes » ils racontent des sornettes (totalement obsolètes ! :- ) mais lisez les propos des dirigeants comme W. Buffet et autre Greenpann cela vous éclairera j’espère

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  13. Nous rappelons aux populations primitives les fondamentaux de l'été : "Sea, Sex and Sun ....!"

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  14. On tire, on tire toujours sur les mêmes et pas sur ceux qui nous gouvernent...Passons.

    Petites précisions:
    M. Fabius n'a été partisan du non au référendum de 2005 ( en violation de la position majoritaire de son parti) que pour se faire mousser en vue de la présidentielle de 2007 et des primaires préalables où il s'est pris une gamelle mémorable.

    Pour A? Montebourg, je ne suis pas du tout sûr qu'il ait voté non à ce referendum.
    En effet, il a publiquement toujours déclaré à l'époque que bien que partisan du non, il se ralliait à la position de son parti. Et il a refusé de participer à la campagne du non organisée par L. Fabius, JL Mélenchon et H. Emmanuelli.

    jf.

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  15. Ça me fait tout drôle de voir le grand Jefferson servir de faire-valoir à un blog qui s'enfonce dans l'acrimonie niaiseuse, surtout à l'aide d'une citation qu'on fait passer sans vergogne d'un contexte à un autre. Mais bon, le lascar en a vu d'autres : même GW Bush en appelait aux mânes du vieux Tom.

    Au lieu de le citer, tu devrais le lire. Surtout à propos du rôle de l'Etat dans ses polémiques avec Hamilton. Tu lui trouverais soudain un arrière-goût un peu trop libéral.

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  16. L'acrimonie niaiseuse vaut mieux, du moins pour moi, que la satisfaction béate dans l'attente, hélas pour toi contrariée, du sauvetage du monde par DSK.

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  17. Non, je pense vraiment pas que ça vaille mieux, surtout de la façon dont tu t'y prends, c'est-à-dire en préparant avec soin un nouveau 21 avril que tu t'efforceras bien entendu d'attribuer aux autres, tous ceux à gauche qui font une analyse différente - i.e. moins simpliste - de la tienne. Pour ce qui me concerne, je ne suis pas satisfait de la situation actuelle et encore moins béat, mais d'une part je ne me prends pas pour l'Ami du Peuple, et d'autre part, quand je cite Jefferson, je m'efforce de ne pas le faire hors contexte pour les besoins de mon petit business.

    Admets une bonne fois pour toutes que tu n'entends pas grand-chose à l'économie et au monde de l'entreprise, ce sera déjà un premier pas. Il est vrai que c'est plus facile de désigner des coupables que de chercher à comprendre. Avec l'approche de 2012, ton blog est bien parti pour toucher le fond. Et apparemment, je ne suis pas le seul à le dire : même tes plus anciens lecteurs commencent à se poser des questions.

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  18. Je ne suis certes pas un expert de l'économie d'entreprise, mais j'ai néanmoins quelques lueurs sur le sujet.
    Tant mieux si mon blog, en me permettant de dire ce que je pense, touche ainsi le fond. Mes stats n'ont pas la même sensation que toi.
    Comme toute citation, celle de Jefferson est hors contexte. Il n'empêche qu'il a dit cela à son époque, quand son pays flirtait déjà avec une grave crise économique, et que la dérégulation financière a éliminé tous les freins mis tout au long de l'histoire.
    Marat, Baboeuf, St Just, ...Sans me comparer à eux, minuscule blogueur, je préfère être avec ces gens là qu'avec ceux qui cautionnent ce qui se passe.

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  19. Quelques lueurs ? Ah oui, c'est vrai, t'as fait un stage ou deux en entreprise, même que tu y as été apprécié. Ça, c'est de la lueur ! Il ne te reste plus qu'à te frotter aux volets comptable, fiscal, commercial, salarial et surtout financier pour que la lueur devienne lumière.

    Tes stats disent si tu es lu, pas si tes lecteurs approuvent ce que tu écris. Si j'en juge par la tendance que prennent les commentaires, il y a comme un flottement de ce côté. Il faut dire que tes analyses deviennent assez gratinées, ces derniers temps. 2012 va rendre fous pas mal de commentateurs, et ce n'est que le début.

    Non, toutes les citations ne sont pas forcément hors contexte. Si celui qu'on cite se référait à une situation similaire, on reste dans le vrai. Mais ce n'est pas le cas en l'occurrence. J'ai beaucoup lu Jefferson que je considère avec Condorcet comme l'un des plus grands modèles en politique. Et je prétends que ta citation est totalement à côté de la plaque.

    Nul n'a parlé de cautionner, arrête un peu avec le genre "ceux qui ne sont pas d'accord avec moi sont d'accord avec ce qui se passe", comme argument, c'est minable. Essaie plutôt de garder un minimum de sens de l'analyse et surtout celui de la mesure. Désigner comme coupables tous ceux qui pensent différemment de toi, à gauche comme à droite, c'est facile. Et stérile. Et te fait passer de fait pour un vieux con intolérant. Ou un révolutionnaire de banquet, c'est selon.

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  20. Il y a déjà quelques dizaines d'années que j'ai cessé de prôner la révolution.
    Pour ce qui est de mon expérience de la vie d'entreprise, comme d'habitude, Sa Grandeur assène (et s'indigne du ton des réponses).
    Je n'y ai jamais fait de stage, mais je t'étonnerais certainement quand nous aurons l'occasion d'en parler de vive voix...
    Mais là n'est pas la discussion. Elle se situe entre ceux qui continuent de cautionner une politique européenne au service de la finance et les autres, ceux qui se vautrent dans la globalisation avec un peu de mercurochrome pour ceux qu'elle met à terre.
    Ceux pour lesquels le PS est le nec plus ultra de la politique et ceux, comme moi, qui le voient comme une simple machine électorale fossilisée.

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  21. Si tu as cessé de prôner la révolution pour te contenter de mettre en accusation tous ceux qui ne pensent pas comme toi, je suis pas sûr que ce soit un réel progrès.

    Sa Grandeur juge le pommier à ses pommes. Et vu les analyses que tu commets en matière économique et financière, Sa Grandeur trouve que tes lueurs sont parfois vacillantes. Sa Grandeur ne se permettrait pas de juger du fonctionnement dans le secteur public, n'y ayant jamais mis les pieds (sauf dans la comptabilité publique, qu'on ferait d'ailleurs bien de rénover en profondeur). Inversement, Sa Grandeur gère une PME depuis 20 ans après quelques années passées dans de grosses boîtes, et commence à connaître un peu la façon dont ça marche - ou ne marche pas - y compris et surtout sur le plan financier. J'ai même connu les affres du dépôt de bilan et de la responsabilité personnelle, c'est dire.

    Ton problème, avec la politique européenne, c'est que t'as du mal à accepter que le "non" au TCE n'a pas été ce non de gauche qui t'aurait bien plu, mais un vote très composite et largement porté par les souverainistes et les extrémistes de tout poil. Dire que la politique européenne est au service de la finance est une ânerie de plus, mais bon, t'en es plus à une près.

    Pour ce qui est de la fossilisation, le PS n'a pas grand-chose à envier à EELV. Mme Joly fera sans doute un score minable - ce que je souhaite d'ailleurs, au nom du vote utile - ensuite les cadres se déchireront à belles dents, pour peu qu'ils aient cessé de le faire d'ici-là, et avec tout ça la cause écolo n'aura pas progressé d'un iota, mais bien entendu, ce sera la faute au PS, valet de la mondialisation financière. Air connu. Vous êtes bien partis, surtout ne changez rien.

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  22. Sa Grandeur prouve une fois de plus qu'elle est persuadée qu'il n'y a qu'elle qui a raison et sait tout.
    Je ne perdrais donc pas mon temps à démonter ses "arguments", ce qui est pourtant très facile.

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  23. Tellement facile que tu te garderas de le faire. Un grand classique chez toi.

    Sa Grandeur te salue bien.

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  24. Moi j'exprime mes opinions et j'essaie de la argumenter.
    Contrairement à ceux qui sont persuadés de dire le vrai se bornant à répéter les lieux communs des sociaux-libéraux, que l'Europe est sociale, le marché sain et qui se piquent de "connaître l'entreprise" (en attendant de pester contre ces fainéants de fonctionaires ?) . Ce sont les mêmes qui se satisfont de l'Angleterre de Blair et de l'Espagne de Zapatero.

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  25. Ça devient vraiment n'importe quoi. Est-ce que tu m'as entendu une seule fois pester contre les fonctionnaires ? Tu vas finir par sombrer dans le délire parano, mon pauvre vieux. Ben oui, je me targue de connaître le monde de l'entreprise autrement mieux que toi, en effet. Mais tu vas sûrement me dire que je sais tout, faute de me prouver le contraire. C'est tellement plus puissant, ce genre d'argument.

    Je pense qu'on va s'arrêter là. De toute façon, tout ça est stérile.

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