Dimanche soir, soirée entre hommes, avec quatre copains, autour d'une vraie niçoise (une salade bien entendu), d'un épaule d'agneau confite à l'achard de citron et à l'ail accompagnée de flageolets, repas terminé par une tarte aux vraies fraises maison.. Blanc et rosé, puis Cannes Bleues après le café...
Et puis les discussions sont parties, animées, sur le service militaire des uns et des autres, ou du moins les souvenirs que cela nous avait laissé, dans l'ensemble assez mauvais, agrémenté, en ce qui me concerne, de longs séjours en prison (militaire) et d'un "rab" de près d'un mois... Nous sommes tombés d'accord sur le fait que les sous-officiers de l'époque, hors unités combattantes, étaient de piètres meneurs d'hommes.
La conversation a ensuite dévié sur la politique niçoise et les tristes expériences de la gauche niçoise qu'avaient fait la plupart d'entre nous, hélas sans grands espoirs d'amélioration sensible, du fait des arapèdes qui se cramponnaient à leur très petit pré-carré.
Nous avons sauté, de là, à Durkheim présenté par l'un d'entre nous comme un précurseur du structuralisme, mais comme l'individu en question voyait des structuralistes partout, y compris JJ Rousseau, nous nous sommes méfiés. Après un détour par Hegel et les 3 lois de la dialectique, nous avons fini sur le vieux débat réformisme-révolution après un crochet chez Marx.
Nos conclusions n'ont pas été très optimistes..!
Et ce matin, après une nuit trop courte, les convives de la veille vont "sucrer les fraises" qui restent des agapes... ouarf ouarf comme dirait Figatel...
RépondreSupprimerBonjour le cholestérol !
RépondreSupprimer(... faudrait passer du menu "croissance et gastronomie", au menu "décroissance et crise"...)
Et en plus, il fume !!!
Oh, quelques tomates, quelques haricots, un peu de mouton et quelques fraises.
RépondreSupprimerC'est presque de la sobriété...
Une soirée sans femmes ? vous déconnez !
RépondreSupprimerVotre soirée ça fait club anglais fin 19ème !
Et , vous n’avez pas parlé « nanas » … z’êtes pire que les « british »
« Blanc et rosé » (au singulier) sont des boissons de retraités ça ?
P…. à vos âges, vous jouez avec votre santé … à la flotte bordel !
Sic : » les sous-officiers de l'époque, hors unités combattantes, étaient de piètres meneurs d'hommes »
Mon cher Jef n’oubliez pas que les militaires honorent ou punissent. Ne confondez pas avec les civils qui eux , quelque fois , remercient
S’avez que certaines femmes quand elles voient un uniforme, elles se contrôlent plus.
Des histoires de « troufions » en sus , vous auriez fait un malheur !
Sic : « le vieux débat réformisme-révolution après un crochet chez Marx. »
C’est le pompon !
Z’étiez totalement imbibés et le tout finir la soirée chez Marx !
Je reconnais que c’est capital mais pas dans ces conditions
IL a crevé la « dalle » pendant des années , troussé la bonniche (un précurseur de la bavure ancillaire) et le voici qui termine aujourd’hui comme infusion destinée à faire passer les vapeurs d’alcool et les désillusions post 68 !
Mérite mieux que ça le « vieux » .
Je préfère ne pas réagir sur l’attitude d’un convive qui vous a obligé à regarder des « footeux »… je ferais dans le vulgaire
En ma présence, il aurait « becté » et à sec l’écran plat !
"Finir la soirée chez Marx, c'est capital !"
Supprimer(Cul de naine, j'aurais aimé la faire, celle-là ! elle est excellente ! ... un jour, peut-être !)
Ami Bruno, je vous assure que de temps en temps, une soirée sans femmes nous rapproche du nirvana.
RépondreSupprimer@Jef
RépondreSupprimerSic : « (…)une soirée sans femmes nous rapproche du nirvana. »
Une soirée où l’onanisme intellectuel est la règle, à la rigeur mais, ne faut pas que ça s’éternise faute de quoi, cela risque de se terminer en onanisme pur et simple … :- )
V’avez plus l’âge de faire des concours de jets de patrimoine génétique !
J'ai bien précisé "de temps en temps".
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