- "Après le scandale de l'IGS, le CSM va mener une enquête disciplinaire contre la juge Ganascia", qui met en évidence l'étrange passivité d'une juge lors de la machination de N. Sarkozy et B. Hortefeux pour virer Yannick Blanc, alors directeur de la police générale, et son adjoint Bruno Triquenaux, ainsi que trois autres personnes, ayant des sympathies à gauche. "Sur la foi des investigations de l'IGS, Mme Ganascia procéda aux mises en examen de MmesNicot et Medjkoune et de MM. Triquenaux et Massard, M. Blanc étant quant à lui placé en garde à vue. Au surplus, les cinq fonctionnaires furent suspendus. Mais, en janvier 2011, dans un arrêt cinglant, la cour d'appel de Paris a réduit à néant l'enquête tronquée et innocenté les fonctionnaires"...
"De fait, il apparaît que l'IGS a commis de nombreuses irrégularités : déclarations déformées, retranscriptions d'écoutes caviardées, pressions sur les témoins, gardes à vue excessives... Le patron de l'IGS, Claude Bard, va jusqu'à rémunérer à l'aide de son propre chéquier un "expert" douteux..".
- "Comment le "chantier" monté par l'IGS s'est retourné contre les policiers", qui détaille l'ensemble des faux en écritures, mensonges et autres auxquels s'est livrée l'IGS dans cette affaire.
- "Comment l'IGS a passé sous silence les agissements suspects de policiers", qui montre comment, à l'occasion de l'enquête, l'IGS est tombée sur de réels ripoux et a soigneusement caché ses découvertes.
- "En 2009, le parquet de Paris et la chancellerie ont refusé d'enquêter sur l'affaire", "Jean-Claude Marin, procureur de Paris jusqu'en septembre 2011, saisi d'une plainte pour "faux en écritures publiques" le 29 mai 2009, par Daniel Vaillant, ex-ministre PS de l'intérieur, a refusé d'ordonner une enquête préliminaire. Michèle Alliot-Marie, garde des sceaux, avertie en novembre 2009 de l'affaire, a rejeté tous les arguments invoqués par les fonctionnaires injustement accusés"...
"Il aura donc fallu que les fonctionnaires mis en cause injustement déposent une rafale de plaintes avec constitution de partie civile pour que des juges d'instruction indépendants soient enfin désignés. Et qu'ils puissent explorer la face sombre de l'affaire de l'IGS".
Le cinquième article est une interview de M. Valls annonçant, juste retour des choses, qu'il virait l'actuel patron de l'IGS. En espérant que cela ne s'arrêtera pas là et que ce monsieur se retrouvera, avec ses complices, sur les bancs de la justice.
- "La justice veut lever l'immunité de Guérini", Libération.
- "Angela Merkel, nouveau Machiavel", par Ulrich Beck, Le Monde.
- "Médecins en grève : «Vous oubliez que j'ai fait... 16 ans d'études»", La plume et le bistouri. Voir aussi: "Les revenus des chirurgiens en hausse grâce aux dépassements", Le Monde.
- "Les destructions nettes d’emplois s’accélèrent dangereusement", Contes Publics.
- "Le Temps, un sixième sens à explorer", Le Monde. ****
Un instrument précieux : Le Rétroviseur
RépondreSupprimerUn instrument inutile : La Longue Vue
Un outil socialiste indispensable : la boule de cristal en verre de lampe fendu, peinte en rose, socle en pierre noire cubique...
Il y a des pollueurs chez Jef ! Hugh Grant, sors de ce corps !
RépondreSupprimerA ceux qui se sentiraient tristounet, après la parlote verbalo-verbeuse de Mou-Président, je conseille de lire un ouvrage d'un comique inégalé : "Misère de la pensée économique" de Paul Jorion.
RépondreSupprimerFou-rire à chaque page, à chaque proposition absurde ... Dieu, que cela fait du bien ! Ce sociopathe a raté une grande carrière d'amuseur public ... son humour sérieux est ravageur.
Est-ce à dire que certains pandores étaient devenus, parfois à l’insu de leur plein gré, la « milice privée » du Factotum ?
RépondreSupprimerLe chef des pandores Valls l’hidalgo, au sifflet se chargera de remettre tout cela «d’équerre » !
Toujours héritage du factotum , selon la presse , il y eut une justice qui comportait des juges « accommodants » qui avaient ainsi dévoyé la Justice de France, en la « prostituant » aux seuls intérêts de quelques dignités politiques .
En d’autres termes la Magistrature assise était-elle toujours debout, devant celle du parquet qui était couchée ?
Reste la question : qui l’emporterait de la Justice selon l’Ordre, ou de l’Ordre selon la Justice ?
Heureusement que tout cela est pure fiction dans notre beau royaume où la Police est intègre et la Justice impartiale !
Justice de plus en plus convenable, avec à sa tête une guyanaise indépendantiste !
Supprimer@JC
RépondreSupprimerVous vous parlez de Dame Taubira ?
Rappelons-nous les charmants gazouillis de cette radicale de gauche, qui avaient apporté une fraîcheur exotique à la campagne de 2002, en expédiant Chirac à l’Elysée , en se présentant contre « Mister Jospin » à moins que cela ne fut contre « Docteur Lionel », pour 5 ans supplémentaires à la tête du royaume.
Cinq ans plus tard en 2007, Dame Taubira voulait toujours gazouiller, mais les caciques du PS lui avaient coupé radicalement le sifflet, afin que la même cause ne produise le même effet.
Cette fois en 2012, après avoir soutenu le sieur Montebourg grand producteur franco français, elle rallia Hollande.
En vertu de quoi, le monarque élyséen lui fit don de la Justice.
C’est que , une fois nommée, notre garde des sceaux n’en finit pas de faire des ronds dans l’eau après jeté un pavé dans la marre de la P.M.A !
Pas certain que le Président soit émerveillé par sa garde des sceaux que certains comparent à un manche à balais tant ses postures sont « raides » !